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Pour les écarts de niveaux je trouve au contraire que c'est super sympa.
J'ai navigué à côté de Faustine Merret, Julien Bomtemps Julien Quentel, Damien Le Guen, Gilles Tanguy, Gérald Pelleau, marion raisin... sans oublier l'idôle de ma jeunesse, Patrice Belbéoch, beaucoup d'autres connus, plus les jeunes espoirs et les très bons comme Sylvain Balcon et Pascal Cousquer, entre autres.
Il n'existe pas beaucoup d'autres sports où l'on peut approcher des médaillés Olympiques, des champions du Monde de vagues, des coureurs internationaux et nationaux, les meilleurs amateurs régionaux et ... des anonymes, amateurs de tous niveaux, avec tous types de matos.
Et quand je dis approcher, c'est aussi créer des rencontres avec quelques uns voire avec leurs familles (n'est-ce-pas Lomic), sans à priori, juste en partage de notre sport -passion pour beaucoup- .
Des contacts humains, tout simplement. Parfois brefs, mais souvent sincères car chacun fait de son mieux en fonction de ses moyens.
Et hors périodes de régates, ces liens se poursuivent par le contact, les conseils.
Bref, un respect mutuel, non élitiste.
c'est ce qui s'est passé à Pléneuf le samedi. Non seulement le vent a tourné et forcit mais surtout, l'orga avait indiqué une direction pour la bouée au large (très très très loin). Au final, de la plage au départ, presque pas de vent, à la rue après, vent de terre très fort, bouée "mobile" mais surtout à distance beaucoup plus proche que prévu. Du coup, non seulement je n'avais pas le bon axe une fois que j'avais raté le départ mais en plus -et elle est bonne celle là- j'avais dépassé la bouée...
de beaucoup. Comme quoi tout peut arriver en régate
Pour le classement, ça arrive souvent, il faut surveiller et réclamer. Le top, une année à la transrade, ils m'avaient déclaré DNF. En vérifiant, j'étais 78ème surla feuille de marquage. J'avais été "oublié"-pas grave car c'était pas pour le classement- mais il devait y avoir un décalage dans le reporting suite à cet oubli.
Parfois, certaines, voire toutes les bouées, ne sont pas pointées. Du coup, en ne les passant pas on peut^se retrouver bien classé. J'ai ainsi été devant Gilles Tanguy à l'aberrante car j'étais crevé et rentrait direct. Un petit mot à l'orga et ce fût réglé. Au passage, la tête de Gilles sur l'eau quand j'ai déboulé plus vite que lui pour le "griller" avant la ligne d'arrivée: "Mais par où t'es passé ?" . Direct, du départ à la bouée au large, retour direct sans passer par les 3 bouées. C'est simple, non ?
Dernière petite histoire. Toujours à l'Aberrante, il manque quelqu'un en hybride sur Kona. Je m'inscris. Départ commun, fun et hybride. Tout va bien et à un moment, les parcours de catégories se séparent. Devant moi, deux membres de l'équipe de France. Je leur demande le parcours, ils me disent de les suivre, ce que je fais.
Résultat: classé 1er de ma catégorie mais surtout dans les 10 premiers du général.
Arrivé 45 minutes avant Faustine également en hybride. Je vois les résultats et je vais voir ZAZ qui organisait le tout. Bilan: résultats maintenus et grosse colère de 4 mecs sponsorisés, ce que je comprends bien ; "on ne change pas de catégorie en cours de route !".
C'est vrai, la régate, c'est un monde à part.
salaud, c'est moi qui m'entraîne en optimist
samedi j'allais souvent plus vite que les planches
qu'est-ce qu'il s'est passé pour Gérald ?
une vidéo qui fait plaisir.
C'est marrant de voir danser Ewan en planche en écoutant son Mp3
donc la technique, c'est:
1/ l'allonger sur sa housse
2/ la faire couiner avec un toy
3/ finir avec une claque sur les fesses
Pas mal....:P:P
c'est à dire que quand on tend (poignée sur +), la roue dentée tourne tout doucement et c'est difficile de gagner quelques mm. c'est pour ajuster précisément l'ouverture de la voile. impressionnant la différence entre deux coups de manettes surtout à la fin.
En revanche, en plaçant le locquet sur -, ce n'est pas vraiment de la roue libre, mais la longueur de bout relâchée est plus importante (mais raisonnable). L'énorme tension ainsi libérée fait réagir toute la voile, en commençant par le mast panel, le mât, les cams et le reste de la voile.
D'où l'importance de la qualité du bout (dyneema) et le vérifier régulièrement.
Sur la version XTI, la plus puissante avec taquet coinceur extérieur, la tension est telle que l'on peut régler un peu en moins mais que pour dégréer il faut aider le bout à sortir du petit trou du taquet. Un petit mal/bienfaits de ce système qui rappelons-le peut se régler en mer.
hier un jeune planchiste, intrigué par le mouvement de mon bras droit,
de haut en bas, devant ma voile étendue au sol, m'a demandé de lui expliquer le fonctionnement de cette fameuse rallonge.
Et bien aujourd'hui il en avait une toute neuve achetée chez le même dealeur que moi.
déjà que hier, Erwan Bordier m'avait demandé des nouvelles de ce fameux matos...
comme quoi les conseils donnés ne sont pas perdus.
Mr L'huillier père, utilise aussi ce système qui permet de garder ses forces pour l'essentiel.
depuis que j'ai un SL5 32 sur la JP IV 60, c'est génial.
Voiles RSR 5,8 et 6,7.
Spin quasi inexistant.
Pas trop de puissance, c'est vrai, mais de la vitesse. Conduite en finesse, on va où l'on veut.
Les réglages de voiles sont hyper importants. Xtoff a raison, avec une voile trop fermée et beaucoup de main arrière, ça ne fonctionne pas bien voire pas du tout. Mais la voile bien étarquée (et encore ce sont des mâts GUN 100%) on "libère" la glisse de l'aileron.
La remontée au vent est possible mais moins bonne qu'avec des ailerons plus droits.
Attention dans le baston très surtoilé, au moment où la planche passe de petit saut en longueur à la réception, il vaut mieux retomber à plat car sinon on peut partir brutalement en spin. Il faut rattraper très vite sinon c'est "crabe" pendant plusieurs dizaines de mètres.
Pour rappel, le shape est "normal" près du talon et nettement plus courbé et étroit sur l'extémité. De profil, le Deboichet est très fin d'où la vitesse mais aussi l'exigence de dosage de l'appui.
Après un an de pratique avec cet aileron je le conseille sans Pb.
vu Lodag à la cale cet aprem. Super qualité de finition. tissu tramé en partie haute.
Les cams s'enlèvent super facile, ils ne sont pas suspendus (elle est comment la rotation ?).
Le fourreau n'est pas super large et il est transparent. Il y a aussi des vide-fourreau à la hauteur des goussets de lattes.
à quoi servent les ouvertures dans le fourreau sur les lattes sans cambers ?
merci, j'ai regardé les sites de Lodag.
si on ne prend pas le mât de la marque de la voile et de la même année, quelle est la différence?
uniquement pour les lofts.
les cams plus gros sont fournis avec ?
combien de temps pour les changer ?
C'est facile ? (comparé à du Pryde à suspensoir)
Objectif perso: avoir moins de voiles (pépettes+rangement) pour faire vitesse-baston en rdm et planning-puissance en SDM, le tout selon la taille des voiles.
En faisant cela, comment est augmentée la plage d'utilisation?
Les mâts GUN sont-ils adaptés ?
Merci Lodag, en fait, j'attendais ton retour d'expérience.
Tu peux expliquer pour les cambers/diamètre du mât?
Le changement d'un type de mât à l'autre est-il facile ?
c'est quelle type de courbure ?
J'ai lu dans les "spécial tests" que les voiles LOFT slalom/race sont particulièrement adaptées aux gabarits moyens. Elles se gréent sur n'importe quel mât (RDM et SDM, adaptation des cambers à faire soi-même). Je n'ai jamais testé.
Qu'en pensez-vous ?
Je crois qu'il y a un challenge de vidéo de glisse pour une soirée du "défi wind".
Quelqu'un a préparé un petit film?
superbe. Impressionnant pour les voiles North. Surfaces ?
t'as pas de téléphone ?
c'est vrai que le passage est particulièrement étroit.
Bruno, j'essaye de te joindre mais pas possible.
Mon tel 06.79.81.71.61.
Sylvain, comment l'aileron a cassé si c'est pas sur un choc ?
désolé Fabrice, tu aurais dû m'en parler depuis le temps que tu te coltines un cormoran:cool:
C'est bien les posts ça permet de se libérer apparemment.
Pour les jibes, je veux bien prendre des cours si je gêne sur le plan d'eau.
La prochaîne fois je ferai ça sous le vent.
Pas de commentaires sur l'attitude du kiteur ?
ça m'étonne !
sacré boulot d'Ewan puisqu'au moment où je change de trajectoire il y a un "EH!". C'est à ces détails qu'on reconnaît un travail soigné. C'était déjà le cas dans "Moulin Blanc en Fury" avec l'accélération de ryhtme quand Arnaud revenait de Kéraliou et que j'abattais, la 5,0 rs4 bordée, en direction de la plage du Moulin Blanc.
Pas d'erreurs Ewan ?
d'accord avec toi Chris, d'autant plus que maintenant que les meilleurs nous ont appris à choisir sa board, les ailerons qui vont avec les voiles et les réglages pareil, il ne reste plus qu'à régler les pb d'assiette et de choix de trajectoires dans le clapot et la houle croisée.
Mais c'est qu'on va devenir bon sur le tard
je viens de revisionner image par image. J'étais bien devant Lodag quand il a décidé d'accélérer tout en remontant au vent/ma trajectoire. heureusement que j'ai ralenti en cassant ma trajectoire.
Jim devait être vraiment pas loin de moi.Ensuite, je n'ai jamais pu reprendre Lodag car j'avais perdu l'élan et surtout le flotteur n'était plus tout à fait à plat tout en ne portant que sur l'aileron.
Jim a eu la gentillesse de me filmer devant lui sur le bord StPabu-Ste Marguerite en ralentissant (pour lui) afin de voir les trajectoires dans le clapot sur un long bord. Ewan doit me passer la séquence prochaînement. ça risque d'être très instructif quand à la position de nav.
Cela fait maintenant 3 ans 1/2 que j'utilise la rallonge à cliquet NORTH.
En 2008 j'ai changé pour la version slalom/race XTR2 avec 2 poulies+un taquet extérieurs.
Le principe est simple: On grée comme une rallonge classique, la fin du bout vient dans le taquet, l'autre extrémité du bout est coincé dans une roue dentée ( principe du cliquet) et rentre dans le tube de la rallonge.
Particularité de ce modèle breveté:
une fois étarqué via le taquet, on saisit une poignée situé en partie haute, le petit loquet sur "+", et on actionne le levier.
Le bout coincé entre la roue dantée et une languette en inox rentre dans la rallonge. L'effort est divisé par 60 ou 80 selon la position du taquet.
Du coup, plus de mal de bras et surtout de dos.
Depuis plus de sciatiques (y'avait pas que ça mais c'était une des raisons principales), plus de power en nav.
Cerise sur le gateau? on peut régler en + ou en - , sur la plage ou en mer.
Ainsi hier, j'ai commencé en 6,7 par 17/22 noeuds pour finir avec 25/30 établis.
Le tout en n'utilisant que la manette et en retendant au wish.
Pour plus d'info, voir le site NORTH.
Ps: avoir toujours une petite languette inox d'avance. Rincer à chaque fois (pour le sable mais surtout le sel qui s'accumule et fait perdre l'adhérence au bout sur la roue dentée.
N'utiliser que du bout haut de gamme.
Il est possible de changer de tube en gardant la base à cliquet de la rallonge (vis cruciforme).
Merci à l'équipe de SWELLADDICTION, Matt et solange pour leurs conseils et surtout à Monsieur Bordier (NORTH) pour ses explications et la mise en place du système.
super vidéo, merci Ewan.
qu'est-ce que l'objectif écrase le clapot et la houle. Pourtant c'était bien formé en direction de StPabu. Les deux grands m'ont rincé et... quels jibes.
On voit bien la vitesse avec les vibrations et les corrections d'assiettes, et encore, c'est Jim avec son gabarit et son niveau technique.
On n'est pas passé loin avec lodag mais je l'avais vu bien avant. je voulais changer de trajectoire et il y avait Jim qui arrivait par derrière full speed alors je ne pouvais pas faire autrement que remonter au vent mais assez près de Lodag pour qu'il passe. J'aime pas faire le jambon.
M'est avis que le kite respectera les priorités la prochaine fois. Distance de sécurité à + de 30 noeuds= 1,5m, à moins c'est direct à la casse. Enfin, 30 noeuds de vent, incroyable de tenir nos matos dans ces conditions, c'est vrai qu'on fait beaucoup de progrès. Le team Breton va faire mal au Défi.
l'image de la planche face au soleil.... Hum...
c'était fait exprès ou c'est le hasard?
c'est valable pour les particuliers qui ont acheté la musique ?
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