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J'ai trouvé 3 sangles qui devraient pouvoir le faire; elles tiennent compagnie, dans la boîte à gants, à la blouse du VW.
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Oui, chez Pat' mais je peux t'en préter une pour essayer (mais si tu pouvais éviter le speed loop avec option "relance de rotation avec tête de mât plantée .....)
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L'idée de prendre un mât + court (donc - raide) et de le rallonger, vise à obtenir un ensemble mât/voile + souple, qui cintre donc + tôt en latéral dans la survente et qui génère donc - de puissance et un fonctionnement - brutal.
On peut utiliser une rallonge de pdm "classique", sauf la longueur qui tourne aux alentours de 60cms (30 pour récupérer la différence de taille + 30 "utiles" pour le réglage). La rallonge tdm s'utilise après avoir oté le bouchon, on glisse la partie mâle dans le mât et le tube de rallonge qui à un diamètre > de 2mm vient se bloquer dessus.
La différence dans le fonctionnement est qu'avec la tdm, tu respectes la courbure du mât en bas et en haut (le mât étant rectiligne en tête) ce type rallongement n'affecte pas (ou peu) la courbure générale)
Avec une rallonge pdm, on assouplit je pense la partie basse du mât et on remonte le point de courbure max du mât de 30cms ce qu'une voile aura sans doute du mal à accepter. Cela dit je crois que c'est cette seconde option qui est employée par F86, alors ...
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Surement possible de les fabriquer avec ses petites mains . Mais ça nest pas le cas de celles que jutilise. Elles passent bien sur mes mâts rdm mais aussi sur les sdm car tout ce petit monde est de diamètre comparable en tête.
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Oui, c'était effectivement ça.
Perso j'ai aussi passé à cette sauce la 7 gréée sur 4.30 + 30cms en tête et la 5.8 gréée sur 3.70 + 40 cms en tête. Honnêtement, je n'ai vu que des avantages à cette option pour ces 3 surfaces.
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Actuellement, jutilise des mâts « une taille en dessous » gréés avec une rallonge de tête de mât de 30cms pour récupérer la longueur préconisée. Résultat intéressant je trouve : moins de tension à coller sur lensemble, passage des cambers amélioré, pas de perte en plage basse et meilleure régulation dans la plage haute qui augmente par ailleurs un peu.
Autre élément pas inintéressant, la voile tire + vers lavant.
Javais dabord essayé une grande rallonge et je navais pas trouvé le résultat très convaincant
peut-être dû au fait que la courbure du mât devient « trop raide » au dessus du wish ? Là on se retrouve avec une partie haute qui ne change finalement guère en terme de courbure et une partie basse qui reste « habituelle ».
Avantage collatéral : cela peut éviter dacheter un second mât si lon na pas besoin davoir deux voiles gréées en même temps.
Personellement, je valide cette manip pour les Stealth.
Si quelquun veut essayer, pas de souci.
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Bonne question, merci de l'avoir posée ........ ben ..... l'étalonnage de GPSAR pour ce qui est de la direction du vent se fait "à la main" (on évacue dans un sujet de cette imprtance tout commentaire + ou - libidineux svp)
Figure dans l'écran de présentation une girouette / manche à air; à ton premier relevé, tu l'orientes selon le "vent réel" que tu as observé dans ta nav' et les polaires de VMG se situeront ensuite par rapport à cette référence.
L'idéal, dans ce monde meilleur dont nous rêvons tous, serait d'avoir un vent régulier en direction pendant la durée de la nav', d'avoir une lagune dans un terrain avec peu de relief (pas de perturbation du vent donc identique à terre et sur l'eau), de relever à terre et au compas la direction du vent, de la noter, d'aller navigue et de péter les scores, de prendre en fin de nav' une bière accompagnée d'une Whaouu! au chocolat puis, rentré "at home" et devant la famille ébahie, de cliquer sur la girouette, de l'orienter à l'angle relevé sur le terrain puis de passer avec aisance sur le(s) écran(s) affichant les polaires de VMG et lacher mine de rien :" Ah, ça confirme bien ce que j'avais senti : c'est à 113° en tribord que ça allait le mieux .... enfin le moins mal : seulement 34.8 knots; ça te parles Antoine ?"
A confirmer par des djeun's (de ceux qui te bidouillent n'importe quel logiciel et te regardent ensuite d'un air à la fois désolé et compatissant) et/ou des spécialistes du GPS; en tout cas, c'est comme ça que j'ai répondu à cette question (sans arriver aux 34.8 pour être complètement objectif) que je m'étais évidemment posée.
Enfin, de mon point de vue, le GPS est incontournable pour objectiver des réglages et/ou des combos.
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Salut JP,
J'avais laissé tomber le DCGR 2009 au vu des prévisions météo vaseuses .... Mauvaise pioche à posteriori.
Je ne renouvelle pas l'erreur de l'année passée et je serai à Trébeurden les 24 et 25/04.
A bientôt,
Xt
Normal, dans des conditions un peu compliquées le niveau de réalisation baisse toujours; mais dans ces conditions on peut aussi progresser assez sèrieusement. C'était le cas hier et je pense qu'on a tiré pas loin du max de ce qu'il était possible de faire (pour moi en tout cas c'est certain)
Xt
Salut à toi et à bientôt sur l'eau
Christophe, Stealth ("Jolie la couleur !! Et on fait les mêmes pour hommes ??") 637 / Mistral.
Petit mail sympa ce soir de l'orga du Défi :" Votre participation au Défi 2010 est confirmée ..."
Xt
Petite nav' de 1h30 cet apm à Penalan avec la JP SL 81 déjà essayée par Bertrand et Sylvain. Vent de NE bien cisaillé 5 à 25+ noeuds selon que l'on se trouve derrière ou devant le passage du nuage; Stealth 7m + aileron JP slalom 30 cms. Un peu difficile vu l'irrégularité du vent de se caler ou de trouver les réglages. Cela dit et en première impression je confirme les commentaires de l'un et de l'autre; planche saine, raisonnablement confortable, rapide et sans mauvaise surprise au largue surtoilé (mais aileron peut-être un peu trop small).
Passage du clapot de face extrêmement efficace : l'étrave est bien dégagée en permanence et passe au dessus sans aucun souci. En ce qui concerne la remontée au vent, il fallait vraiment être dans les tours (12 noeuds et +) pour qu'elle exprime ses possibilités qui semblent prometteuses.
Accessoirement :
- se changer en fin de nav' sous la neige/grésil a au moins un avantage, c'est que l'on reste à peu près sec.
- par rapport à la Manta Tabou de volume comparable la stabilité directionnelle est meilleure (outline + allongé) et le confort/clapot m'a semblé comparable.
- le volume annoncé est de 81 ; celui (annoncé) de la Mistral est de 80l .... l'un des deux se trompe car la JP flotte nettement mieux que la Mistral .... Une Formula je vous dit et +tôt contrôlable ce qui ne gâche rien.
Xt
Retrait de la licence le 5, certificat médical le 6 (pour mon info vos médecins habituels vous font-ils passer à vous aussi un Ruffier-Dickson ?) Dossier complet expédié aujourd'hui. Cela dit je ne m'étais pas pré-inscrit, cette manip' me semblant compliquer très inutilement la procédure.
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Nickel ce CR; il met l'eau à la bouche *. impatient de lire ce que tu en penses dans des conditions plus fortes.
Xt
* 'eau à la bouche" : étape précédent habituellement chez un planchiste d'un poids approimatif de 65 kgs l'étape "main au porte-monnaie.
Profitant de la pétole du moment et avant le retour du flux d'W je propose un :
"Deboichet SL5 30cms vs Devil 29 cm"
Observations
Loutline offre un vrai air de famille avec le Devil bien connu et prématurément arraché, début décembre, à laffection des siens.
1/ poids : 275 grammes pour le Deb vs 322 pour le Devil
2/ surfaces : très comparables le Deboichet faisant un « petit » 30 et le Devil un « grand » 29 (du style « vous men mettrez une bonne livre »)
3/ différence notable dans le dernier tiers du Deb qui prend une courbure + accentuée. Les bords dattaque et de fuite qui étaient quasiment superposables depuis le talon se décalent ; la valeur du décalage atteint le centimètre.
4/ limplantation de laileron dans le talon est décalée ; 7mm + en arrière pour le Deb.
5/ Epaisseur max au niveau du talon : 8,5mm pour le deb vs 9,75 pour le Dev ; 10 cm + bas les épaisseurs sont respectivement de 8 et 8,25 pour arriver à la même valeur de 6mm à 20cms du talon.
6/ Emplacement du maître-bau : un peu + reculé chez le Deb (26,4% contre 24,5% pour le Devil)
7/ Inclinaison : Le Deboichet est globalement plus incliné que le Dev; un bon 21° pour le Devil vs un petit 23° pour le Deb.
8/ Le talons coincé dans un étau, la lame courbée puis lâchée sèchement : note + aiguë pour le Deb ce qui indique une nervosité supérieure.
9/ Concernant le « flex » il se monte approximativement à 2/3 de la longueur pour le Deb vs 1/3 pour le Dev.
10/ Pour ce qui est du vrillage langulation du bord de fuite à la sollicitation est perceptible sur 1/3 de la hauteur sur le Deb contre ¼ sur le Dev.
11/ Etat de finition remarquable et petit « karman » qui va bien, presque bien en fait, à la jonction lame / talon (manque les prolongements avant et arrière).
Les implications théoriques.
Cet aileron est nettement déjeté vers larrière : implantation dans le talon, inclinaison générale et double courbure rejetant un peu + la pointe vers larrière. En contrôle leffet sera comparable au fait davancer les straps, mais en vitesse, les straps restant en position arrière, on devrait rester sur la partie « rapide" de la carène.
Point négatif probable : laileron étant implanté + près de larrière de la planche, les possibilités de ventilation, et donc de décrochement, devraient être + fréquents.
En ce qui concerne lassiette longitudinale, cette inclinaison arrière accentuée fera lever le nez du flotteur (si quelquun à une explication à ça, je suis preneur).
La faible épaisseur du profil indique à la fois une puissance en retrait, des angles dincidence faibles et une mauvaise tolérance aux variations de ces angles ; en revanche, diminution de la traînée donc vitesse + importante.
Pour ce qui est de la puissance, le maître-bau un peu reculé vient compenser cela (Plus il est en arrière, + le profil est puissant)
Enfin un aileron peu puissant aura du mal à faire gîter le flotteur de façon à dégager le rail au vent et diminuer la surface mouillée ; la surface en bas est légèrement + importante que sur le Devil ce qui abaisse un peu le centre de poussée et optimise le bras de levier de laileron sur le flotteur.
Globalement cet aileron devrait être + rapide et moins tolérant que le Devil ; privilégier la recherche de vitesse donc et être fin sur les appuis ; il devrait aussi cabrer le flotteur et lempêcher de partir au lof. Si lon réussit à rester dans sa « marge fine » il devrait également être + performant au près . Sous réserve que lon puisse faire gîter légèrement le flotteur. Enfin, dans le rouge, lautorégulation devrait être de bon niveau compte tenu de la nervosité et des qualités de vrillage et de flex.
Navigation (voiles Stealth 5.2 et 5.8, Mistral 80l, Deb SL5 28 cm et même flotteur avec Stealth 7 et deb' SL5 30; plan deau +tôt chaotique, surtout avec une côte un peu dans le sac)
Au démarrage impression d avoir laissé la housse ou de traîner un paquet de goémon ; il faut un peu de vitesse et dabattée pour quil accroche et là, ça accélère nettement mieux que le Devil ; en même temps le nez de la planche monte et lon se retrouve rapidement à fonctionner sur les 30 derniers cm de la carène ; contrôle directionnel au top de la facilité ; pour que le rail au vent se dégage de leau il faut une vitesse supérieur à celle du Devil mais dans cette configuration pas dapparition damorce de tendance à se satelliser. Confort un peu limité par « lobligation dappuyer » côté doigt de pieds lorsque la vitesse baisse pour contrer la tendance du flotteur à se remettre à plat.
Le dosage des appuis en latéral est primordial sous peine de décrochements ; un petit raccourcissement (2cm) des lignes de harnais afin dêtre un peu plus au-dessus du flotteur est bienvenu durant la phase dapprivoisement. Par la suite, j'ai reculé les lignes de harnais (réglées pour les ailerons JP slalom d emême longueur) d'une largeur d'index et baissé le xish de 3 cms en reprenant la longuer initiale des lignes de harnais : quantité de rappel conservée + réduction de la pression sur le pied arr; résultat satisfaisant.
En conduite contre le clapot éviter de trop décoller : chaque retour au contact de leau demande un amortissement des jambes sérieux sous peine de décrochement ; en conduite à toute les allures lorsque la pression sur le pied arrière augmente du fait de la vitesse ou dune risée, il y a un niveau (que lon « sent » assez rapidement) qui oblige à abattre pour ne pas décrocher ; là en conduite au largue (et particulièrement dans le chantier) on atteint un niveau de confort / facilité inégalé.
Toujours un peu difficile de comparer les VMG dune nav à lautre mais en première approche on est, à vitesse égale aux alentours de 3° de mieux quavec le Devil ; meilleure remontée donc.
Pour ce qui est des jibes, si lon ralentit « trop », on se retrouve avec la même impression quau démarrage ; trop dangle, décrochement, ralentissement, damned, la housse est revenue
.
Au terme de ces premiers contacts et avant que les affaires ne reprennent avec ce qui est prévu pour la fin de lannée :
- Je trouve cet aileron bien adapté à la Mistral, aux Stealth et à mon gabarit ; le point commun à ces trois éléments étant une puissance limitée, tableau dans lequel le SL5 me semble sinscrire avec un certain bonheur.
- A contrario jai quelques doutes sur son adéquation avec des flotteurs puissants, des voiles qui lèvent le flotteur (RSR et + encore RSS) ; à déconseiller totalement je pense à ceux qui ne « sentent » le flotteur quavec des appuis latéraux puissants et/ou qui apprécient les lames qui renvoient fort. Jai par ailleurs la quasi certitude que cet aileron ne convient pas avec des voiles (ou des réglages) qui offrent une main arrière très présente
- Reste à lessayer dans du chantier serré (dans le chantier « large » ça va bien et même très bien) histoire de voir si les exigences de contrôle ne redonnent pas lavantage au Devil.
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Plan d'eau trop technique pour mon niveau je pense, et en + dans ces conditions ...
Bravo à tous.
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Salut Kevin,
Personnellement, j'ai +tôt tendance à me classer dans la catégorie
"AAR" * que dans celle E.T.
Bon c'est sur que quand tu n'as pas le poids ni les qualités physiques, il faut trouver des solutions pour glisser quand même .... mais c'est souvent un peu compliqué je trouve.
A bientôt
Xt
* Art d'Accommoder les Restes
Merci Didier pour ton accueil.
En ce qui concerne le X de Xtophe, il s'agit d'un emprunt à nos amis grands-bretons; en effet, selon les linguistes les + éminents, dans leur ancien langage, X était l'abréviation de Christ; quelques locutions ont d'ailleurs survécu et il n'est pas rare, vers la fin d'année, de les voir écrire "X-mas". Actuellement, les conjonctures sont variées (voire même opposées) en ce qui concerne le sens possible de ce terme.
Toutefois il n'est pas douteux que les recherches actuellement menées sur ce thème au département 3 du labo des langues du CNRS permettront, à terme, d'en percer la signification.
Pour ce qui est d'une tournée éventuelle, je suis toujours partant pour sponsoriser ce type de manif'; sufit de se mettre d'accord sur le jour et l'heure et je m'occupe du reste.
Xt
Présentation, en tentant de rendre le produit aussi séduisante que possible (mais je sens bien que cest pas gagné) afin qu'il attire l'oeil d'une marraine ou dun parrain .
Christophe Dyèvre
Age : carte vermeille et débuts en planche dans un temps que les moins de 30 ans ne peuvent pas connaître ; né le 1° septembre 1947 trop triste.
Sponsor(s) : quelques pistes du côté de « Notre Temps » et du côté du service commercial « Seniors » de la SNCF ; à suivre.
Gabarit du Golgoth : 1m78 ; 65 kilos
Matériel : Mistral red dot SL 80, jadore ; cest un flotteur pas trop puissant, qui frétille comme un goujon et ne demande quà vivre. Avec un aileron JP slalom de 30cms ça prend sans pb les Stealth de 5.8, 6.4 et 7 (pas + de 15 knots pour cette dernière).
En dessous, la Warpette et la petite Naish slalom 60 litres . Toujours avec des Stealth qui sont légères, précises, +tôt performantes et pas fatigantes pour deux sous.
Job : conseiller technique de la Direction Départeentale Jeunesse et Sports .. enfin, de ce qui en reste.
Historique planche : premiers bords en 75 sur ces bonnes vieilles Windsurf en polyéthylène jaune avec wish en teck
souvenirs, souvenirs
Première planche en 76, une « Alain Feuillette » (polyester, creuse
normal pour un fabricant de canoës et de kayaks) suivie de quelques autres jusquà ce jour auquel jestime avoir passé avec succès les stades de « misérable terrien », « planchiste émotif » et « honorable planchou »
. Les grades de « maître du VMG »,« vénéré maître» et « céleste lumière de la planche » me semblant assez inaccessibles.
Anecdote : il ya une quinzaine de jours à Kernisy, Eric Doux (qui était moniteur de voile à lépoque lointaine à laquelle je dirigeais une Base Nautique) ma confié en regardant naviguer une bonne proportion des membres de votre communauté : « Vous êtes vraiment une bande dénervés du wish avec un niveau comparable aux planchistes du Jaï mais avec un état desprit sympa ; ça fait la différence »
Projets : jessaye de voire grand, si, si, mais cest un peu compliqué, entre autres à cause du fait que mon avenir de planchiste est, objectivement, assez largement derrière moi.
Si besoin dinfos complémentaires pas de pb, suffit de poser les questions.
A + sur leau
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